L’autopartage intéresse les territoires ruraux comme urbains mais il peut rebuter en raison du montage des projets et de l’exploitation du service qui impliquent souvent de faire appel à des prestataires spécialisés. Dans un nouveau guide, le Gart (groupement des autorités responsables de transport) clarifie la marche à suivre en commençant par le cadre qui n’est pas toujours bien connu des agents ni des élus. L’association rappelle la distinction entre les services d’autopartage entre particuliers (avec une application de mise en relation directe) et le « free floating » qui consiste, pour un opérateur, à disposer sur la voirie des véhicules de prêt localisables avec une application. « Suivant les caractéristiques du territoire, il peut être intéressant de combiner plusieurs formes d’autopartage dans la mesure où chaque forme convient mieux à certains...
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Jean-Philippe ARROUET le 10 septembre 2024 - n°512 de La Lettre du Maire Rural